Votre jardin peut faire une différence pour le climat : découvrez comment !

Le 11 novembre prochain, s’ouvre à Bakou (Azerbaïdjan) la COP29. Comme vous le savez, chaque année, des délégations de 197 pays, composées essentiellement de scientifiques en environnement, de responsables politiques et d’organisations non gouvernementales, se réunissent pour suivre l’évolution du changement climatique, ses conséquences, et le suivi des solutions à mettre en œuvre pour éviter des catastrophes naturelles à l’échelle de la planète. En ligne de mire… la réduction de l’émission de dioxyde de carbone (CO2) par l’industrie et les populations, qui est le principal levier du réchauffement climatique.

Les enjeux sont déstabilisants, voire trop complexes et immenses, pour en saisir l’importance pour nous et surtout pour nos enfants et petits-enfants. Hier, c'était Halloween au Québec. En déambulant dans les rues avec nos enfants en quête de bonbons et de monstres, c’était peut-être la première fois que les déguisements d’Halloween étaient bien trop chauds et que les tee-shirts étaient plus confortables qu’un manteau.

Selon Météo Média, on a bel et bien battu des records… 22 degrés C à Montréal et à Gatineau et 19 degrés C à Val-d’Or. Que l’on croie ou non aux causes et aux effets du réchauffement climatique, ce qui est sûr, c’est que l’Halloween de 2024 restera un marqueur mental pour nous. Et puis après… comment seront les prochains Halloweens et les prochains étés ? On a tous cette petite voix au fond de nous qui tourne en boucle : « Ce n’est pas si grave, on s’adaptera, et demain est demain avec notre vie quotidienne à gérer. »

Plusieurs initiatives individuelles sont possibles, qui allient mode de vie et solutions pour améliorer notre environnement

À partir de la mi-novembre, nous serons exposés à la couverture médiatique mondiale des travaux de la COP29, avec les analyses de plus de 6 000 scientifiques et les réactions et interventions des délégations des 197 pays présents, composées de plusieurs milliers de responsables politiques. Les enjeux géopolitiques, économiques, sociaux, environnementaux et scientifiques seront exposés, et les débats d’intérêts vont se télescoper comme chaque année.

Au final… comme dans la chanson de Jacques Dutronc « et moi, et moi, et moi… » qu’est-ce que je peux faire à mon niveau ? Eh bien, plusieurs initiatives individuelles sont possibles, qui allient mode de vie et solutions pour améliorer notre environnement proche. Par exemple… Nos jardins peuvent se transformer et devenir des capteurs efficaces de CO2.

Un mur végétal améliore la qualité de l’air de notre maison en absorbant le CO2 et en produisant de l’oxygène

Des recherches montrent que des jardins urbains bien aménagés contribuent activement à la réduction du CO2 dans l’atmosphère et favorisent l’abaissement des températures ambiantes. C’est sûr qu’au niveau de la planète, l’impact est limité. Une étude sur les jardins domestiques urbains a démontré que la réduction des pelouses et l’utilisation de compost peuvent réduire de plus de 3 % les émissions de gaz à effet de serre (GES) d’une ville.

Mais comment faire pour créer un jardin harmonieux et qui soit efficace pour répondre aux enjeux environnementaux ? Plusieurs solutions existent, notamment les jardins naturalisés (voir notre article…) et le mur végétal !

Si vous ne disposez pas de murs adaptés, une solution alternative est l’installation d’une pergola bioclimatique dans votre jardin

Au niveau esthétique, un mur végétal apporte une touche de zénitude et de bien-être. Un sentiment d’apaisement, de confort et d’espace.

Si vous ne disposez pas de murs adaptés, une solution alternative est l’installation d’une pergola bioclimatique dans votre jardin. Construite en aluminium, la structure solide et durable offre un support idéal pour soutenir le poids d’un mur végétal.

Le plus se trouve dans les lames orientables de la pergola bioclimatique, qui permettent d’ajuster précisément la quantité de lumière idéale pour les plantes.

En ce qui concerne la gestion de l’humidité, assurez-vous que votre pergola bioclimatique dispose d’un système d’évacuation d’eau afin d’éviter les problèmes liés à l’excès d’eau. Ce système est d’ailleurs intégré dans les pergolas bioclimatiques Ombréa.

Pour le choix des plantes, plusieurs options sont possibles au Québec, afin de résister à la fois à nos hivers et à nos étés. Voici quelques exemples pour réaliser ce projet :

• Le lierre anglais : rustique, il résiste aux hivers froids et aux périodes de forte chaleur.
• La vigne vierge : pousse rapidement et s’accroche très bien. Elle résiste au froid.
• La clématite : elle donne un petit air de montagne avec ses fleurs colorées au printemps et en été. Par contre, elle nécessite plus d’attention au niveau de son exposition au soleil. Elle a besoin de lumière.
  Si le sujet vous intéresse, n’hésitez pas à nous demander. Nous ferons un article plus détaillé sur les possibilités offertes pour notre climat québécois.